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Fix lyrics Bouger La Téte by Iam
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Je plonge dans mes souvenirs pour voir mon devenir<br />Sors dans l'année d'où tant de choses allaient partir<br />Je rentrais de l'école un soir, dégoûté<br />En pensant à tous les devoirs qui m'attendaient<br /><br />J'entre et je tombe sur la télé, qu'est-ce que c'est<br />Que ces mecs qui tournent sur la main et font des roulés-boulés<br />Pour moi, c'était nouveau pourtant c'est sûr<br />Mes deux pieds et ma tête battaient déjà la mesure<br /><br />On dit que tout se joue sur un coup de dés<br />Mais c'est sur un coup de grosse caisse que mon destin s'est tracé<br />Collé au rythme, j'ai oublié mes livres<br />D'école, avec la danse c'était incompatible<br /><br />J'étais voué à faire de la musique<br />Condamné à placer le son au-delà d'une rhétorique<br />Ainsi, j'ai envers lui une éternelle dette<br />Dont je m'acquitte à chaque fois que je fais bouger les têtes<br /><br />Envoies donc le rythme que je swingue les gadjis gadjos<br />Check 1, 2 pour le microphone<br />Place au mc qui torchait les partys au tempo des profiles<br />Kamikazé verbal, wildstyle<br /><br />2 pour la basse, 1 pour les aigus, putain je suis le vrai Gus<br />Si ce style est en apéritif, je suis Monsieur Plus<br />Bastonne mon son sur les ondes le matin<br />Pimpant, j'injecte un funky clap dans vos tympans<br /><br />Lyriciste grimpant, les compétiteurs saignent<br />Car j'absorbe plus de trucs que la sphaigne daigne écouter<br />L'oscillateur de tête, le boss, le pivot<br />Chill est le Suprême, poto, y'a pas de rivaux<br /><br />Réfractaires au son de Mars et que ce flot de rimes brime<br />Flippez mais dites pourquoi vos bobines dodelinent<br />C'est intrinsèque, mais le sec en baskets et casquette<br />N'a pas d'équivalent pour faire bouger la tête<br /><br />Depuis les Flash Breakers, l'eau a coulé sous les ponts<br />Tout a changé sauf le volume de mon walkman à fond<br />Pourtant je regrette parfois ces entraînements<br />Interminables où l'on créait de nouveau pas<br /><br />Aujourd'hui on recherche des échantillons<br />Chaque fois meilleurs, mais toujours pour les mêmes raisons<br />C'est comme ça que je m'éclate<br />Faire bouger la tête des mecs sur un swing soul qui claque<br /><br />Wou! Terrible, c'est ça, enchaîne<br />Une basse bien grasse mon sang bout dans mes veines<br />Le coeur est un métronome<br />L'homme ne peut que s'incliner quand le hip-hop inpose son dogme<br /><br />Au nom de ceux qui avec moi usèrent leurs survêtements<br />De ceux qui nous ont supporté jusqu'à présent<br />Je me dois de tenir mon poste, j'ai envers eux une dette<br />Dont je m'acquitte quand je fais bouger leurs têtes<br /><br />Les sons qui me portent sont brutaux, je l'ai dit plus tôt<br />Je transmute la nature de l'être humain en culbuto<br />Frappe comme une batte, nommé Batman constate<br />Que le frère Chill flippe sur le mic comme un acrobate<br /><br />Le grand Pope du côté obscur<br />Méthodique, trempé dans le rap jusqu'à l'os cure<br />Le mal par la malice, le swing mon Graal, mon calice<br />Au pays de Marseille, ça file, fils on l'appelle Alice<br /><br />Indépendante la tête, elle s'agite<br />Brise un aspect statique, chute vers le bas comme une blague tragique<br />Sous les basses vibre la toiture<br />Et les types sont des bandes de clebs sur la plage arrière des voitures<br /><br />Le sens et la technique sont hardcore<br />L'essentiel est là comme une compilation de chanteur mort<br />Mixette, DAT cassette<br />Microphone check, tout est prêt pour agiter la fête
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Je plonge dans mes souvenirs pour voir mon devenir<br />Sors dans l'année d'où tant de choses allaient partir<br />Je rentrais de l'école un soir, dégoûté<br />En pensant à tous les devoirs qui m'attendaient<br /><br />J'entre et je tombe sur la télé, qu'est-ce que c'est<br />Que ces mecs qui tournent sur la main et font des roulés-boulés<br />Pour moi, c'était nouveau pourtant c'est sûr<br />Mes deux pieds et ma tête battaient déjà la mesure<br /><br />On dit que tout se joue sur un coup de dés<br />Mais c'est sur un coup de grosse caisse que mon destin s'est tracé<br />Collé au rythme, j'ai oublié mes livres<br />D'école, avec la danse c'était incompatible<br /><br />J'étais voué à faire de la musique<br />Condamné à placer le son au-delà d'une rhétorique<br />Ainsi, j'ai envers lui une éternelle dette<br />Dont je m'acquitte à chaque fois que je fais bouger les têtes<br /><br />Envoies donc le rythme que je swingue les gadjis gadjos<br />Check 1, 2 pour le microphone<br />Place au mc qui torchait les partys au tempo des profiles<br />Kamikazé verbal, wildstyle<br /><br />2 pour la basse, 1 pour les aigus, putain je suis le vrai Gus<br />Si ce style est en apéritif, je suis Monsieur Plus<br />Bastonne mon son sur les ondes le matin<br />Pimpant, j'injecte un funky clap dans vos tympans<br /><br />Lyriciste grimpant, les compétiteurs saignent<br />Car j'absorbe plus de trucs que la sphaigne daigne écouter<br />L'oscillateur de tête, le boss, le pivot<br />Chill est le Suprême, poto, y'a pas de rivaux<br /><br />Réfractaires au son de Mars et que ce flot de rimes brime<br />Flippez mais dites pourquoi vos bobines dodelinent<br />C'est intrinsèque, mais le sec en baskets et casquette<br />N'a pas d'équivalent pour faire bouger la tête<br /><br />Depuis les Flash Breakers, l'eau a coulé sous les ponts<br />Tout a changé sauf le volume de mon walkman à fond<br />Pourtant je regrette parfois ces entraînements<br />Interminables où l'on créait de nouveau pas<br /><br />Aujourd'hui on recherche des échantillons<br />Chaque fois meilleurs, mais toujours pour les mêmes raisons<br />C'est comme ça que je m'éclate<br />Faire bouger la tête des mecs sur un swing soul qui claque<br /><br />Wou! Terrible, c'est ça, enchaîne<br />Une basse bien grasse mon sang bout dans mes veines<br />Le coeur est un métronome<br />L'homme ne peut que s'incliner quand le hip-hop inpose son dogme<br /><br />Au nom de ceux qui avec moi usèrent leurs survêtements<br />De ceux qui nous ont supporté jusqu'à présent<br />Je me dois de tenir mon poste, j'ai envers eux une dette<br />Dont je m'acquitte quand je fais bouger leurs têtes<br /><br />Les sons qui me portent sont brutaux, je l'ai dit plus tôt<br />Je transmute la nature de l'être humain en culbuto<br />Frappe comme une batte, nommé Batman constate<br />Que le frère Chill flippe sur le mic comme un acrobate<br /><br />Le grand Pope du côté obscur<br />Méthodique, trempé dans le rap jusqu'à l'os cure<br />Le mal par la malice, le swing mon Graal, mon calice<br />Au pays de Marseille, ça file, fils on l'appelle Alice<br /><br />Indépendante la tête, elle s'agite<br />Brise un aspect statique, chute vers le bas comme une blague tragique<br />Sous les basses vibre la toiture<br />Et les types sont des bandes de clebs sur la plage arrière des voitures<br /><br />Le sens et la technique sont hardcore<br />L'essentiel est là comme une compilation de chanteur mort<br />Mixette, DAT cassette<br />Microphone check, tout est prêt pour agiter la fête
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